Les trois roisCe roman est le regard d'un homme sur son époque. L'homme, c'est Jean de Namur, musicien renommé dans l'Europe de son temps, mais d'abord enfant enlevé aux siens, comme nombre de petits chanteurs des Pays-Bas, pour servir à la cour de Madrid.Son destin étonnant suggère à l'historien la peinture d'une époque, celle de l'an 1600, où les rois de France mouraient assassinés et où Leurs Majestés d'Espagne pourchassaient tout ce qui sentait un tant soit peu le fagot, maures, gueux et hérétiques. Il est riche aussi en coïncidences troublantes, d'où le romancier tire les péripéties d'une histoire palpitante mêlant sentiments, complots et aventures. Mais quel est donc le secret de ce tableau des trois rois qu'un vieil homme regarde à ses derniers jours ?Ce roman est sorti en octobre 2001 et a été distribué en Belgique, en France et en Suisse. Il a valu à son auteur d'être élu "Namurois de l'année 2002".Edition originale : 448 pages, format 18 x 22 cm, papier bouffant édition LibrisÉditeur : Éditions Lux, Atrive, 48, B-4280 Avin, BelgiqueCe livre, longtemps épuisé, a été réédité par l’asbl Editions Martagon, qui le propose en ligne . Il est également en vente sur Amazon.fr et Lulu.com.Pour écouter gratuitement ce roman en audio-livre, cliquez ici.Quelques extraits de presse :Marc Ronvaux nous donne ici la mesure de son talent de romancier. Un talent nourri par la connaissance de la musique et un amour profond de la cité mosane. Sa prose coule comme les eaux du fleuve, avec grande aisance, sans heurts. Un beau livre pour les vacances d'hiver. (Alméjar, Confluent)Dans "Les trois rois", roman historique éblouissant d'érudition, Marc Ronvaux raconte le destin mouvementé d'un musicien namurois mort en 1634. C'est la première fois que la veine romanesque exploite de si maîtresse façon le passé namurois. Il a passé quatre ans à tisser la trame des aventures de son héros, en multipliant les recherches sur le contexte de l'époque, afin de donner au récit un maximum de crédit. Il y a réussi. (Maurice Gillet, Vers l'Avenir)Le récit ne se départit jamais d’une verve réjouissante qui lui assure un rythme soutenu. Belle alchimie que celle-ci, qui adopte une langue moderne, mais joliment fleurie, capable de ménager à la fois le sérieux du fond et la légèreté de la forme. On reconnaît ici la plume agile de Marc Ronvaux, qui sait admirablement nous faire partager ses passions sous une forme séduisante et pleine d’esprit. (Jean-Marie Marchal, Chœur Magazine)Un remarquable travail, non seulement de recherche, mais également d’écriture. Un savoureux et émouvant moment de divertissement… (Jean-François Lahaut, Clin d’oeil)